Les températures sont plus douces, la neige fond tranquillement, le printemps est à nos portes. C’est le temps de commencer tes semis, de suspendre ton linge dehors pour sécher – si il pleut pas – et d’ouvrir en grand les fenêtres pour faire disparaître la morosité de l’hiver ! Ah ! Ils ont prévu de la pluie pour ce dimanche. Mais ça tombe bien, on avait prévu de le passer sous la couette. Alors, pour fêter le printemps, ce dimanche…
On se régale de street-food égyptienne!
On regarde un Guillermo Del Toro
Fin 2021, tu as peut-être manqué la sortie de ce nouveau film de Guillermo del Toro, Nightmare Alley. Avec un casting assez fou (Bradley Cooper, Cate Blanchett, Rooney Mara…) et une histoire super prenante, c’est la combinaison parfaite pour une bonne soirée. Attention, le film n’est pas une comédie, il y a quelques scènes assez trash donc je vous conseille d’attendre d’avoir mis les enfants au lit pour commencer le visionnement. C’est l’histoire de Stan, un jeune homme de la campagne qui débarque dans un carnaval itinérant en 1940. Il attire l’attention d’une voyante et de son mari mentaliste qui le prennent sous leur aile et l’initie au monde du carnaval. Mais Stan souhaite en apprendre toujours plus pour son propre profit, et en utilisant des connaissances nouvellement acquises, il commence à escroquer l’élite malgré les avertissements de tout son entourage. Une petite pépite qui rappelle forcément The Shape of Water, avec une image époustouflante et une histoire… prenante !
C’est dispo sur Disney+.
On dévore le dernier Pénélope Bagieu!
On lit Kukum, pour en apprendre plus sur les Premières Nations
Si tu n’as pas encore lu ce Prix littéraire France-Québec 2020, c’est maintenant que tu dois le faire ! C’est difficile pour moi de trouver les mots pour te faire lire ce livre car il est tellement bon, beau et brillant que j’en perds mon latin. Je lis de nombreux livres mais dès que j’ai ouvert celui-ci, dur dur de le fermer sans l’avoir dévoré. Tout de suite, on aime Almanda, la protagoniste principale, qui nous raconte son histoire. On s’attache a elle, à sa famille, à son histoire. On découvre sa vie de nomade, membre d’un clan Innus de Pekuakami. Michel Jean nous transporte au coeur de la réalité des Premières Nations, confrontées à la perte de leurs terres, l’enfermement des réserves et la violence des pensionnats. Un livre à lire, pour une tonne de raisons, mais surtout parce que c’est une belle leçon d’humanisme.
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